Santé mentale

Mes compétences en communication pourraient être utiles aux organisations qui travaillent dans le social et souhaitent travailler avec quelqu’un en externe qui comprend leur travail.

Au cours des dix dernières années, j’ai compris à quel point la santé mentale est importante et que l’environnement de travail peut être très éprouvant pour tout un chacun. J’ai commencé à travailler pour une association européenne des énergies renouvelables à Bruxelles quelques mois seulement avant le krach financier de 2009. Mon employeur de l’époque (EREC – Conseil européen des énergies renouvelables) a déposé son bilan quelques années plus tard, après presque deux ans d’incertitude. Avant cela, des changements organisationnels avaient provoqué du stress pour les employés et on s’est retrouvé à nombre réduit pendant plusieurs mois.

En 2013, j’ai commencé une formation de trois ans pour devenir art-thérapeute à Bruxelles (à Rhapsodie), bien que je sois finalement parti vivre en Norvège après la première année, ce qui a mis fin à ce projet-là. Je continue à porter un intérêt à l’art et à sa capacité à agir en tant que médium thérapeutique, mais hélas je n’ai pas eu l’occasion de continuer sur ce chemin en Norvège. Je crois fermement en la qualité thérapeutique des chevaux et souhaite m’impliquer davantage dans ce travail à Bergen, compte tenu de mon réseau existant dans ce domaine.

Je me suis engagée en tant que bénévole à la Croix-Rouge à Bergen il y a trois ans, car j’avais envie d’apprendre à aider concrètement les personnes en situation de vulnérabilité et de nouer des liens avec les gens de ma ville et de me servir de mon norvégien. Au sein de la Croix-Rouge, j’ai trouvé deux activités qui correspondent à mes intérêts et à mes compétences.

Je fais du bénévolat chaque semaine dans le cadre du programme «Døråpner» (“Ouvre porte”), où je suis responsable de l’escalade, pour les gens qui se trouvent isolés et ont besoin d’un nouveau départ dans la vie, et du programme de réadaptation de prisonniers «Nettverk etter soning». Je suis devenue instructeur d’escalade en salle en novembre 2019 (retrouvez-moi ici sous “Klatreleder inne”).

En 2021, j’ai commencé un nouveau bénévolat avec CRUX Kalfarhuset dans le cadre de leurs activites d’équi-térapie. Les séances visent à permettre les femmes incarcérées à la prison de Bergen de découvrir le cheval et l’équitation. Photographe passionnée, j’ai eu l’occasion de prendre des photos (portraits et photos anonymisées), ainsi que d’aider les participantes avec leurs chevaux et les rassurer.

Je suis des organisations qui défendent la santé mentale au Royaume-Uni, telles que: la fondation Mind, Mental Health Foundation. Je suis allée à plusieurs expositions à Londres organisées par Koestler Trust, la principale association caritative britannique consacrée aux arts en prison. J’ai également fait du bénévolat pour Koestler Arts en soumettant des commentaires anonymes aux candidats aux prix Koestler Awards.

Le travail de réhabilitation correspond le mieux à ma personnalité, mon expérience et mes intérêts. J’aide les gens par le biais d’activités physiques (équitation, escalade) et du rapport avec la nature, les animaux, les arts, ainsi que l’écoute active.

Prenez rendez-vous!

“Jeg kjenner Eleanor som frivillig i Bergen Røde Kors, og der gjør hun en flott innsats i Nettverk etter soning. Hun er positiv og engasjert i frivillighetsarbeidet. Hun er også en pådriver og har utmerket seg som en initiativrik og lojal frivillig. Hun er lett å komme overens med og er en stor ressurs for Røde Kors.”

Hilde Lisbeth Amundsen, Bergen Red Cross

“Eleanor har den unike evnen av å være ytterst seriøs i alt det frivillige arbeidet hun driver; samtidig som hun er den som legger mest vekt på at vi skal ha det sosialt og kjekt sammen.”

Jan Bjørgo, Bergen Red Cross

“Eleanor gjør en god jobb som frivillig og har stilt opp regelmessig siden hun startet. Hun har vært svært aktiv i klatregruppen der hun ble har vært gruppeleder siden april 2019. Hun har også bidratt i rekrutteringsarbeid og i andre aktiviteter i Døråpner.”

Monica Thune Kaakull, Redd Barna